Les tendances du marché - page 6
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Qu'entend-on par "exemple spécifique" ? Parlons-nous d'un modèle de niveau 2 que vous voulez que je présente ici et des morceaux spécifiques de l'histoire où il se manifeste ?
J'analyse toutes les principales devises et les croisements obtenus à partir de celles-ci en temps réel à l'aide d'un graphique 3D. Nous avons ici le mouvement des liquidités dans les principales devises (pas les symboles), le mouvement des potentiels de ces devises (le sujet est lié aux volumes échangés cumulés), plusieurs méthodes de détection des initiés sur les symboles, plus deux dizaines de paramètres traités par le réseau neuronal flou.
En ce qui concerne l'historique dans le CSV, j'ai un historique enregistré avec une extension différente.
Peu importe, csv,txt...pas d'extension du tout... une séquence de chiffres est uneséquencesurPandora. Séparateur, virgule, tabulation, espace, etc...
De toute façon, oublie ça, j'ai déjà changé d'avis, si c'est une excuse à ce stade, c'est de la merde. Comme prévu. Désolé, pas le temps d'entrer dans le sens des formats de fichiers, des différences profondes entre "symbole" et "paire de devises" et autres pseudo...
Bonne chance.
Un conseil aux amateurs d'analyse spectrale : appliquez vos connaissances au niveau 2. Vous trouverez beaucoup de choses intéressantes si vous le faites bien.
A quelle profondeur le niveau 2 est-il disponible pour vous ?
WoW ! Cool ! True ball mon pote a recommandé cette ressource comme étant la plus active et la plus compétente !
Merci à tous ceux qui ont pris la parole : hrenfx, Heroix , C-4, Silent, 223231,Alex_Bondar, ProstoTak, gunia, etc..... En particulier hrenfx et 223231 pour les détails que je peux comprendre, et Heroix pour l'astuce sur le parseur.
Certains messieurs m'ont semblé avoir parlé d'une manière trop générale, ou je n'ai pas compris certains points.
Par exemple, ProstoTak est très loin de moi et a probablement déjà oublié comment c'était au début))). Son raisonnement est donc difficile à comprendre. Je comprends que le niveau 2 est un bon type de données, mais on ne sait même pas en principe comment l'analyser. Je ne peux que supposer qu'il s'agit de différentes proportions de volumes d'acheteurs et de vendeurs, ainsi que de certains remplissages extrêmes et de leurs temps d'attente. C'est encore trop pour moi, il faut au moins résumer les lois simples des prix, sur des chandeliers de minutes et des corrélations avec d'autres actifs.
Franchement, j'ai créé ce fil pour agréger et cataloguer les connaissances fragmentaires, mais l'effet inverse se produit, les connaissances s'ajoutent et s'ajoutent sans aucun tri.
Je ne sais pas quoi faire. Mon cerveau n'est pas un sac d'eau bouillante, je sens qu'il va bientôt me submerger. Je dois construire quelque chose avec eux ou les envoyer à l'entrepôt.
Je comprends que chacun ne veuille communiquer qu'à son propre niveau élevé, sur ses propres sujets intéressants, il faut essayer de trouver un dénominateur commun.
Par exemple, le respecté hrenfx a divisé les stratégies en stratégies "breakout" et "breakdown". Il s'agit d'une classification bien connue, parfois on dit "plat / tendance", etc. La logique est basée sur la définition de 2 états et de 2 hypothèses :
États : tendance et couloir (tendance/plat, donc moins de lettres... )
Hypothèses probabilistes :
1) Si la tendance, la direction de la hausse des prix se maintient.
2) S'il est plat, le sens de la hausse des prix s'inversera.
Deux hypothèses opposées selon le type d'État. Il est difficile d'identifier les états (il existe de nombreuses méthodes), cette identification est le principal casse-tête, ou plutôt comment les traiter. Réduire les points de vue manifestement infondés qui ne sont pas falsifiables et indémontrables, mais intuitivement confortables. Comme les ondes d'Elliot par exemple, qui, lorsqu'on me les a présentées, n'étaient qu'un chef-d'œuvre de logique et de conception, c'est parce que j'ai l'habitude de penser en images, mais maintenant je pense que c'est une erreur. Ce qui est non-falsifiable est anti-scientifique et donc impraticable.
M. gunia a suggéré d'utiliser des exemples, ce qui est logique à mon avis. Vous pouvez prendre des données d'une source ouverte, les mettre dans le format le plus courant et les publier ici, afin d'éliminer la possibilité d'une mauvaise interprétation et/ou la paresse des âmes torturées à obtenir les données elles-mêmes.
Et utilisez ces données pour vous entraîner à trouver des modèles.
Par exemple, prenez une zone donnée, et comparez quelle méthode donne quelle efficacité, comment cette méthode fonctionne, si elle utilise des informations a priori sur les propriétés structurelles de haut niveau du motif (ajusté), etc. etc.
Prenez le prix minuscule d'un seul IF au début, voyez comment on peut prévoir dans ces conditions, puis prenez tous les IF pour aider et voyez ce qui se passe ensuite ? Et ainsi de suite.
Peut-être en viendra-t-on au niveau 2, si ces données sont dans le domaine public, afin que chacun puisse prouver/falsifier la logique par lui-même. Ceci répond à la question de ProstoTak (Si vous aviez le niveau 2 et la tâche d'extraire des informations, que chercheriez-vous et comment ?)
Ma réponse : je n'ai pas ces données, quand je les aurai, je m'entraînerai et je parlerai de ce que je pensais pouvoir y trouver, en dehors du delta communément connu.
...
Par exemple, le respecté hrenfx a divisé les stratégies en stratégies "chopper" et "breakout". Il s'agit d'une classification bien connue, parfois on dit "plat / tendance", etc. La logique est basée sur la définition de 2 états et de 2 hypothèses :
États : tendance et couloir (tendance/plat, donc moins de lettres... )
Hypothèses probabilistes :
1) Si la tendance, la direction de la hausse des prix se maintient.
2) S'il est plat, le sens de la hausse des prix s'inversera.
...Je suis un débutant, donc je peux me tromper, mais la division en stratégies de tendance et stratégies plates n'est pas identique au sens de la classification en stratégies de rupture et de retour en arrière.
Dans le premier cas, il n'y a pas deux mais un seul principe - le maintien des états. Si nous avons une tendance, alors la tendance continuera et si nous avons un plat, alors ce sera un plat, sans préciser à quel moment ou pour quelle raison le changement d'état sera déterminé et quelles sont les caractéristiques de ces états.
La seconde identifie implicitement la méthode du point de division des états, c'est-à-dire que l'on parle de canal lorsque le prix ne quitte pas les frontières du canal (support et résistance), dont la distance est proportionnelle à la volatilité. Si le prix sort du canal, d'un certain montant, on parle de "rupture" qui signale le changement d'état en "tendance" et l'inversion de l'hypothèse sur le comportement.
On peut dire que le premier mode de classification est plus général et que le second est plus spécifique. Tout dépend de l'efficacité de la méthodologie de la deuxième voie, et cela dépend de la façon dont les séries chronologiques de prix sont soumises à l'"attraction de niveau". Par exemple, pour SB, cette méthodologie n'a aucun sens, comme toute autre méthodologie. Mais le décalage du SB par incréments est déjà plus intéressant pour la prévision, bien que la théorie des canaux soit inefficace pour cela, alors le raisonnement peut simplement se baser sur le suivi de la tendance, sans tenir compte des limites du canal.
Il était intéressant, comme le conseille hrenfx, de partir du contraire et de simuler des processus idéaux pour telle ou telle stratégie, puis de déterminer les signes de l'état et de les chercher déjà dans les séries de prix, là où la stratégie serait la plus applicable.
1) Si la tendance, la direction de l'augmentation du prix restera.
2) S'il est plat, le sens de la hausse des prix s'inversera.
Mais vous devez d'abord donner au moins une définition des termes colorés. Cela prendrait la moitié d'une vie :)
P.S. ... Jusqu'à ce que tu réalises que c'est des conneries, ce qui ne sert à rien du tout.
Le fait est que les stratégies de rupture et d'effondrement ne nécessitent pas nécessairement la définition de "tendance" et de "plat".
Demandez 5 positions et offrez 5 positions, c'est suffisant pour avoir assez d'informations pour une analyse en temps réel.
Sur les contrats à terme ?
Si vous aviez le niveau 2 et la tâche d'extraire certaines informations, que chercheriez-vous et comment ?
Motifs sur le rapport entre les volumes de coupes et les volumes d'échanges.
Le fait est que les stratégies de rebond et de rupture ne nécessitent pas nécessairement la définition de "tendance" et de "plat".
Sur les contrats à terme ?
Les motifs sont basés sur le rapport entre le volume des coupes et le volume des transactions.
Et c'est parce que la tendance et le plat sont arbitraires. Tous ces éléments sont facilement remplacés par le terme tendance [*].
Et ce concept* possède deux caractéristiques qui vous permettent de réaliser des bénéfices.
Dans un plat, l'angle est égal à 0, ou tend vers zéro. Par conséquent, un plat devrait également être une sorte de tendance (pourquoi devrait-il être en dessous).
Idéalement (avec des valeurs connues de l'angle et de la volatilité), il est possible de scalper indépendamment d'une tendance ou d'un flat.
Mais les notions de tendance et d'aplatissement sont également applicables, mais elles sont d'ordres différents. Un flat n'est pas le contraire d'une tendance, c'est plutôt sa composante fractale inférieure.
Regardez attentivement les graphiques H1 et M5. Si le premier ne contient presque pas de bémols, le second est presque entièrement constitué de ceux-ci et d'impulsions (surprises).
Une impulsion s'ajoute à un aplatissement de la caractéristique du marché. Et une tendance est son grand frère (le contraire d'une tendance, c'est aussi une tendance mais dans une direction différente).
Et ce, parce que la tendance et le plat sont des concepts conditionnels. Tout cela peut être facilement remplacé par le terme de tendance[*].
Et un tel concept* possède deux caractéristiques qui lui permettent de faire des bénéfices.
.....
C'est le momentum qui s'ajoute à l'aplatissement de la caractéristique du marché. Et la tendance est leur grand frère (le contraire d'une tendance, également une tendance mais dans une direction différente).
5 points !
Mais le concept de tendance n'est pas divulgué.
5 points !
seul le concept de tendance n'est pas divulgué.
Une tendance (trend) est un suppresseur (quelque chose qui supprime) un parti de taureaux ou d'ours (selon le cas), une composante mentale du marché qui est dans l'esprit de la plupart des participants au marché.
La suppression d'une partie du marché entraîne un flux de participants d'une partie conditionnelle à une autre, ce qui se traduit par une augmentation relative quadratique des participants de la partie gagnante. D'où la nature de l'élan.
Puisque la composante est mentale, elle change conformément aux lois psychologiques de la nucléation, du développement, de la conquête des idées de l'espace vital (esprits).
Aux TF inférieures, il est très dynamique, changeant presque sans inertie, alors qu'aux TF supérieures, il y a de l'inertie (ce qui crée des angles de mouvement).
La tendance n'a qu'un seul "angle" caractéristique. C'est aussi une force de pression. Si l'angle change, on peut parler de la dégénérescence de la tendance ou de son achèvement.
La volatilité n'est pas liée aux caractéristiques de la tendance (elle ne définit pas son évolution), mais elle est nécessaire pour réaliser un profit. Il serait donc raisonnable de le mesurer en TS et de l'utiliser comme point de référence.
Les tendances comportent 3 étapes :
La première se trouve dans les laves d'opposition, et est caractéristique du stade 3 de la tendance dominante. La deuxième étape est le contrôle total du parti au pouvoir, avec des guerres inter-établissements à l'intérieur.
Le développement de la confrontation interne (lorsque certains veulent aller vite et d'autres ne sont pas pressés) conduit à une transition vers la troisième étape. Ainsi, l'émergence d'une nouvelle tendance se fait parallèlement au dépérissement de l'ancienne tendance (c'est le stade de l'incertitude, la décision prise à ce stade est la plus coûteuse, la criticité de l'erreur est élevée), le travail au 2ème stade consiste à sauter dans un train en marche (souvent inefficace, mais avec la bonne compétence peut être bu sans grand risque).