Discussion de l'article "L'exemple simple de création d'un indicateur à l'aide d'une logique floue"

 

Un nouvel article L'exemple simple de création d'un indicateur à l'aide d'une logique floue a été publié :

L’article est consacré à l’application pratique du concept de logique floue pour l’analyse des marchés financiers. Nous proposons l’exemple de l’indicateur générant des signaux basés sur deux règles floues fondées sur l’indicateur Enveloppes. L’indicateur développé utilise plusieurs tampons d’indicateurs: 7 tampons pour les calculs, 5 tampons pour l’affichage des graphiques et 2 tampons de couleur.

Comment pouvons-nous expliquer à nos machines informatiques la signification d’expressions aussi simples que « ... un peu plus... », « ... trop vite... », « ... presque rien... »? En fait, c’est tout à fait possible en utilisant les éléments de la théorie des ensembles flous, ou plutôt les soi-disant « fonctions d’appartenance ». Voici un exemple de А. Le livre de Leonenkov :

Décrivons la fonction d’appartenance à l’expression « café chaud »: la température du café doit être considérée comme comprise entre 0 et 100 degrés Celsius pour la simple raison qu’à des températures inférieures à 0 degré, il se transformera en glace, tandis qu’à des températures supérieures à 100 degrés, il s’évaporera. Il est tout à fait évident qu’une tasse de café avec une température de 20 degrés ne peut pas être appelée chaude, c’est-à-dire que la fonction d’appartenance dans la catégorie « chaud » est égale à 0, tandis qu’une tasse de café avec une température de 70 degrés appartient définitivement à la catégorie « chaud » et, par conséquent, la valeur de la fonction est égale à 1 dans ce cas.

En ce qui concerne les valeurs de température ​qui se situent entre ces deux valeurs extrêmes, la situation n’est pas si définitive. Certaines personnes peuvent considérer qu’une tasse de café avec une température de 55 degrés est « chaude », tandis que d’autres peuvent la considérer comme « pas si chaude ». C’est le « flou ».

Néanmoins, on peut imaginer l’aspect approximatif de la fonction d’appartenance : elle est « croissante de façon monotone » :


Auteur : Максим Востров

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